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Yu-hua SHEN

Mon voyage de deuxième semestre de master MAVI est en Chine. J’ai participé à une résidence artistique chez “ The Swatch Art Peace Hotel ” à Shanghai, dans une architecture historique au Bund Shanghai. Cette résidence accueille 17 artistes de différents domaines et de différentes nationalités. Chacun a son atelier et sa chambre. Mon voisin est un DJ français qui expérimente la musique électronique. Un autre musicien allemand travaille sur la composition contemporaine en employant le piano et le violon. Il y a aussi des plasticiens viennent de la Hongrie, de la Suisse, de l’Espagne, du Japon et de l’Inde. Trois artists chinois viennent de différentes régions. Des photographe de l’Ukraine, du Russe et de l’Allemand. Je suis la seule artiste taïwanaise. Depuis cette résidence a fondé en 2011 , il y avais que deux artistes taïwanais, l’un est Andy Yen en 2016, l’autre est moi en 2018. A cause de la tension entre la Chine et Taïwan, il y a peu d’artiste taïwanais qui tend à postuler la candidature en Chine. Je trouve que c’est une opportunité d’y savoir plus, comme je suis jamais allée en Chine, une curiosité se compose en moi depuis longtemps.

Dans cette résidence, les langues que l’on utilise sont variées. Je parle français avec mon voisin DJ, en mandarin avec les artists chinois, en anglais avec les autres artistes. Cela crée une richesse culturelle. Aucune langue n’est principale, aucune culture n’est prioritaire. Nationalité ne définit pas l’individualité. Je trouve que c’est dans ce condition là que l’on puisse échanger sans barrière.

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